Steph’ Bern a fait connaître à tous ceux qui ont la télé les campings Yelloh Village grâce à sa phrase accrocheuse. Je les connaissais donc de nom mais pas encore en temps que vacancière.

Nous sommes partis pour un week-end de total décompression qui tombait à pic pour enfin sortir de la spirale infernale: Ecole- Boulot- Dodo. Histoire de ne pas partir trop loin, et parce que la Normandie, c’est joli, nous avons posé nos petites valises au Camping Les Vikings, près des plages du débarquement, a quelques ploufs de Jersey.

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L’arrivée au camping

L’accueil est fait pour se sentir bien dès le seuil de l’accueil passé, un personnel hyper disponible est là pour vous faire lâcher prise durant le séjour. Une fois les formalités expédiées, nous voilà dans notre cottage. Ce qui me frappe d’emblée? La propreté des lieux et le soin apporté à l’entretien du cottage. La déco est sommaire mais le confort est là. Je découvre avec de grands yeux qui pétillent un petit dressing dans notre chambre. Evidemment, l’Homme n’a pas eu beaucoup de place, il a prit ce qu’il restait, c’est à dire peu, car même pour un week-end, je dois être un tout petit trop prévoyante.

La salle de bain avec des rangements, et le petit plus qui fait une différence certaine, un produit de nettoyage respectueux de l’environnement, preuve que Yelloh Village tient à préserver le cadre qui accueille ses clients.

L’espace extérieur est agréable, avec suffisamment d’intimité pour ne pas se sentir chez le voisin, un barbec’ en dur à partager, et du calme (peut être dû au début de saison mais tout de même).

Le bonheur simple par Yelloh Village

Evidemment, on a filé de suite à la piscine avec les enfants. L’espace est hyper sécurisé, les enfants ne peuvent pas en sortir seuls. Des casiers de rangements pour les affaires sont à disposition: on se change, l’homme joue à Mitch, moi à Pamela, avec comme seule et unique différence Boubou qui s’accroche à mon haut de maillot de bain… on y était presque. L’eau est bonne, évidemment, la piscine est chauffée. J’ai dis la piscine? non! Les piscines sont chauffées: une piscine couverte permettant un accès à l’extérieur et aux toboggans, une autre pour les plus grands, extérieure, également chauffée. Les enfants ne voulaient pas en sortir, on avait faim, on les a soudoyer en leur promettant une glace.

Nous voilà partis au restaurant du camping, Pamela n’avait pas envie de cuisiner. La carte plait aux grands comme aux petits, Ces derniers ne sont d’ailleurs pas oubliés,un espace de jeu leur est réservé dans la salle: ROYAL (comme dit Steph’ Bern’). Un petit regret, dû au début de saison, a été le manque de poissons que l’on s’attendait à trouver sur la carte.

La mer? parlons en: elle est à 10 min à pieds, le coucher de soleil est magnifique et l’eau était… loin, mais sans y avoir mis le pieds, je peux affirmer qu’elle était froide. Elle aussi se prépare gentiment à la haute saison:

Le lendemain, les garçons ont été cherché les croissants à la supérette, dès 8h, ça sent bon les viennoiseries et on trouve son chemin en suivant cette bonne odeur. On y trouve tout ce qu’il faut!

Boubou a eu ensuite presque envie d’aller au club-enfant. En s’y rendant, on a mêmerencontré quelques poules qui sont là, elle, à l’année. L’équipe d’animation est hyper disponible, Boubou a fait le relou et a finalement dit non. Pourtant les animateurs avaient fait preuve de persuasion pour lui vendre une super matinée. Un espace de château gonflable réjouit les petits, des trampolines pour les plus téméraires et un espace dédié aux sports collectifs. Je vous l’ai dit, il y en a pour tout le monde.

Finalement, nous nous sommes laissé tenté par les conseils du personnel du camping qui nous avait indiqué un marché très agréable le samedi matin à Barneville. Nous y avons fait le plein de fruits de mer, de produits frais à des prix enfin raisonnables, il était temps de quitter Paris!

Le soleil a enfin pointé le bout de ses rayons et la journée s’est continuée à la piscine, entre baignades, glaces et farniente.

Mince je me dis que dès le lendemain matin, il faudra partir et je n’en ai pas envie, je serais restée la semaine sans la voir passer!

Pas si vite, je ne vous ai pas encore parlé des soirées à thèmes: le samedi soir, c’était rodéo mécanique! Je fanfaronnais en disant à qui voulait l’entendre (l’Homme en fait, seul car les enfants ont cessé de croire en mes capacités trop rapidement) qu’étant cavalière, j’allais peut être tellement bien tenir qu’il me garderaient dans le camping une semaine en plus.

En vrai? Boubou a tenu plus longtemps que moi, vous avez du voir la vidéo sur les réseaux sociaux (non? vous n’avez rien vu? Faut vous abonner à ma page FB ou me suivre sur Insta’!!!) Il a faillit gagner un cocktail, je me voyais déjà rentrer pompette en cherchant mon cottage mais non, il a laissé sa place.

Et si l’on restait? Boubou ferait la vaisselle et moi je rejoins l’équipe d’animation?

L’heure du départ à sonné, le lendemain matin. Sur la route du retour, on se disait avec l’homme qu’on y reviendrait bien en vacances tellement c’était bien c’était chouette. On aurait le temps d’aller sur les plages du débarquement, de vadrouiller à Jersey, d’accrocher Boubou au parachute de Sainte-Mère l’Eglise, de manger encore du formage qu’on ne ramène pas dans la voiture sous peine d’asphyxie générale.

Je vous ai donné envie d’aller en Normandie? Faites le moi savoir en commentaire! La région est belle, le camping propose des tarifs accessibles, le temps y est beau presque tout le temps et les gens bien plus souriants que dans le sud! (bouhhhhh Cile, bouhhhhh: OUI JE SAIS!)